Gustave doré (1832 - 1883) - "la nuit de noël" - (non daté) cette gouache de gustave doré est conservée au musée d'orsay de paris. c'est un ange et non l'actuel père noël, qui apporte les jouets aux enfants. et voici l'histoire du père noël. en 270, en turquie, est né nicolas de myre dans une riche famille chrétienne. il deviendra "sain

Pour "le week-end, un thème, un tableau" qui poursuit "le tableau du samedi" initié par jean-marie, repris par lady marianne et continué par fardoise et lilou, le thème ce samedi, c'est : "ombres et lumières". j'ai choisi pour ce samedi ce tableau de george de la tour intitulé "l'adoration des bergers". george de la tour - "l'adoration des be

Eugène delacroix - "autoportrait" - (1818) théodore géricault a beaucoup influencé delacroix : forts contrastes d'ombres et de lumière qui donnent du relief au modelé, comme on le voit dans le portrait ci-dessus. cet autoportrait très original met en valeur le visage de l'artiste, tout le reste du tableau est dans l'ombre. le regard y acquie

Une pose de dix minutes. encre sépia aquarellable et aquarelle sur papier aquarelle

Pour "le week-end, un thème, un tableau" qui poursuit le "tableau du samedi" initié par jean-marie , repris par lady marianne et continué par fardoise et lilou, le thème, ce samedi, c'est : "le rose dans tous ses états". j'ai choisi pour ce samedi ce tableau de peder severin kroyer j'avais consacré un article à cet artiste ici : https://aman

Gentile da fabriano - "l'adoration des mages" - (1423) tempera, or et argent sur bois, 300 x 282 cm. galerie des offices, florence. ce magnifique tableau riche de couleurs et d'or montre une foule de personnages venus adorer le nouveau-né dans le sillage des rois mages. il a été peint par gentile da fabriano ( 1370 - 1427) peintre italien de sty

Joyeux noël à tous !

Encre sépia et aquarelle sur papier aquarelle

Une pose debout pendant dix minutes encre de chine et lavis sur papier aquarelle

Au début du 20ème siècle la mode, bien sûr, change, les crinolines sont définitivement abandonnées depuis l'après second-empire, mais les jupes restent longues et les chapeaux volumineux. aucune femme de la bonne société ne sortirait sans chapeau. 1911 - jean béraud - "les midinettes" mais dix ans plus tard l'habillement s'allège, les ju